Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 15 capitoli

Pubblicato: 24-08-08

Ultimo aggiornamento: 09-10-08

 

Commenti: 80 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Avant d’entamer cette histoire, je vous demanderai pour celles et ceux qui ne m’ont jamais lu, de lire absolument le Tome 40 « Ne me quitte pas… » Avant de lire celui-ci. Merci et bonne lecture.

 

Disclaimer: Les personnages de "Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"

 

Capitolo 11 :: Chapitre XI

Pubblicato: 27-09-08 - Ultimo aggiornamento: 27-09-08

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15


 

 

Chapitre XI  

 

Umibôzu prit la parole le premier.  

 

- (Umi) Il va falloir lancer une offensive directement contre ce général, tu n’es pas d’accord, Ryo ?  

 

- (Ryo) Hum ! Hum ! Je vois que ton travail est toujours aussi en finesse, et tu proposes quoi ? Qu’on se pointe avec chacun notre bazooka et qu’on lui explose la tête ?  

 

Kaori qui trouva la remarque de son partenaire judicieuse, entreprit de traduire mot pour mot ce que Ryo venait dénoncer.  

 

- (Umi) Et bien, oui ! C’est propre, net et sans bavure !!!! Mais je t’en prie, le fantôme de pacotille, je suis sure, que tu as une meilleur idée et surtout les moyens de la réaliser ??  

 

- (Ryo) Et ! Gros pachyderme, je te signale que l’on vise le Générale Sato, et non, toute la ville de Tokyo !!!!  

 

- (Kaori) Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!  

 

- (Umi) On peut savoir ce qui te fait rire ?  

 

- (Kaori) C’est Ryo ! je suis désolée Mammouth. Mais il a raison, je crois qu’il vaut mieux être discret. Causer du tord au Générale est une chose, mais au Premier Ministre en est une autre. Je crois qu’il faut que l’on fasse attention à cette donné.  

 

- (Président) Vous avez tout à fait raison Kaori. Et c’est ce que cherche sans aucun doute Sato.  

 

- (Ryo) Kaori, je suis très impressionné… tu t’améliores de jour en jour…  

 

- (Kaori) Merci, Ryo.  

 

Elle était touchée par ce compliment inattendu, et l’apprécia à sa juste valeur.  

 

- (Umi) Mr le Président, vous ne pourriez pas contacter directement le Premier Ministre, et l’informer des agissements du Général ?  

 

- (Président) C’est bien trop compliqué, il faudrait des preuves, je ne peux pas me permettre d’accuser quelqu’un de sa garde à tord et à travers.  

 

- (Umi) On ne peut pas rester terré ici indéfiniment ! Il faut faire quelques choses et vite, sinon le Général va encore prendre de l’avance sur nous.  

 

- (Doc) Ecoutez, je sais qu’en ce moment vous êtes tous à cran, mais je me permets de vous rappeler, que nous déjeunons, alors on arrête de parler de cette affaire et on mange.  

 

Le Doc venait juste de mettre fin à la discussion. Il semblait très sérieux, et donc, personne n’eut le courage de surenchérir. Le Président qui avait déjà terminé son assiette, s’excusa auprès de la bande et décida de se retirer dans sa chambre un moment.  

Quand enfin il se retrouva seul dans ses appartements, il se positionna devant le miroir et sans mot regarda ce que produisait son reflet dans celui ci.  

Son regard était perdu, et c’est à ce moment très précis qu’il constata la présence de Ryo dans la glace, juste derrière lui.  

Surprit, il se retourna vivement, mais ne vit personne.  

 

- (Président) Oh !!! Pendant un moment j’ai bien cru apercevoir Ryo ! Je crois que je suis un peu tendu.  

 

Et quand il se repositionna devant le miroir, il ne put que constater qu’il n’avait pas halluciné. Ryo se trouvait bien derrière lui et le fixait d’un regard sombre et intense.  

Le président en resta bouche bé, il ne comprenait pas ce qui se passait.  

Ryo se rapprocha de lui et lui demanda.  

 

- (Ryo) Ecoutez, Nicolas, si vous voulez pouvoir compter sur moi, il faut me dire exactement tout ce que vous savez sur cette affaire. J’exige toute la vérité.  

 

- (Président) Mais je vous ai déjà tout dit ! Protesta t-il d’un ton bourru.  

 

Après un bref soupir, Ryo continua de façon peu aimable.  

 

- (Ryo) Vous savez, mon vieux, vous avez beau être le Président de la République Française, vous ne me la faites pas…  

 

- (Président) Calmez-vous Saeba, je vous répète que je ne sais rien de plus. Et puis, comment se fait il que je puisse vous voir ?  

 

- (Ryo) Là n’est pas la question. Rappelez-vous plutôt de quel milieu je viens.  

 

- (Président) Oui et alors ?  

 

- (Ryo) A part mes clients actuels savez-vous combien j’ai défendu d’innocents dans ma vie ?  

 

- (Président) Dites-moi ?  

 

- (Ryo) Aucun, Nicolas. Aucun. Ils avaient tous quelque chose à se reprocher ou à cacher. Alors des imposteurs, j’en ai vu défiler des tas et je sais les reconnaître. Et vous, Nicolas, vous me mentez lorsque vous prétendez ne pas en savoir plus sur l’histoire qui nous préoccupe.  

 

- (Président) Ce ne sont que des mots, mon jeune ami, rien que des suppositions d’un homme au cœur noircit par des années passées dans un milieu, ou malheureusement la corruption est monnaie courante. C’est ma parole contre vos insinuations. Vous ne pouvez pas prouver ce que vous dites.  

 

Ryo était convaincu que cet homme, sous ses des dehors affables et derrière son air paternaliste, savait des choses stratégiques qu’il aurait préféré garder pour lui.  

 

- (Président) Mais qu’est ce qui vous prend, Saeba ? Vous pensez que j’ai avoir quelque chose dans toute cette histoire, je vous rappelle que nous étions ensemble hier soir ! Et que je me suis fait tirer dessus.  

 

- (Ryo) Je ne dis pas que vous faite partie de ce complot, je dis juste que vous nous cachez des informations importantes, et que par voie de conséquences, vous nous mettez tous en danger. Vous avez pensé à Kaori ?  

 

Le Président avait laissé passer quelques secondes… Ryo avait tenté un coup de poker en jouant sur la corde sensible… Il connaissait l’attachement du Président pour Kaori, qu’il estimait et respectait.  

 

- (Président) Vous savez, Saeba, il faut absolument que nous coopérions et pas que nous nous opposions…  

 

- (Ryo) Tout à fait d’accord, raison de plus pour vous mettre à table.  

 

- (Président) Et bien soit, avait capitulé le Président de mauvaise grâce… Tout d’abord, est ce que vous avez déjà entendu parler des « gènes du crime » ?  

 

- (Ryo) Oui vaguement, c’est une théorie, mais je croyais que cela n’existait pas.  

 

- (Président) En fait ce projet a été remis à l’étude il y a quelques années, il s’agit d’expliquer les comportements violents de certains délinquants, non pas par leur milieu social ou le contexte dans lequel ils ont été élevés, mais par leur patrimoine génétique.  

 

- (Ryo) Si je vous suis bien, on ne deviendrait pas criminel, mais on naitrait criminel ?  

 

- (Président) Hum… C’est un peu plus compliqué. Disons que nous avons déjà identifié certains gènes qui prédisposent à la violence, à l’alcoolisme, à la névrose ou à la perversité, mais il faudrait continuer les recherches pour avoir des résultats inattaquables et trouver encore d’autres gènes.  

 

- (Ryo) Est-ce que vous rendez compte des implications dramatiques que peuvent avoir ces allégations ?  

 

Objecta Ryo, en repensant à certaines déclarations de politiciens pour qui le credo génétique constituait le meilleur moyen d’aboutir à la suppression de toute aide sociale, en gros il ne servait à rien d’aider les pauvres et les chômeurs si ce n’était que leurs mauvais gènes qui étaient responsables de leur condition misérable et de leur sous-emploi.  

 

- (Président) Bien sur que j’en suis conscient. C’est pourquoi il faut être très prudent dans les conclusions que l’on tire de ces recherches.  

Avait rétorqué le Président qui commençait à être un peu échauffé par les leçons de morale de Ryo.  

 

- (Ryo) O.K Nicolas, mais quel lien cela a-t-il avec nos préoccupations immédiates ?  

 

- (Président) J’y viens. Pour donner plus de poids à la validité de ses travaux, l’institut de recherche Homoto recherchait depuis quelques mois un sujet d’étude un peu particulier. Comment dire… quelqu’un dont les agissements singuliers dans le domaine du crime rendraient intéressant toute étude approfondie de ses gènes.  

 

- (Ryo) Une minute… Ce que vous êtes entrain de me dire, c’est que vous avez participé à l’élaboration de ces expériences sur les gènes du crime ?  

 

- (Président) Attendez, ne concluez pas aussi vite…  

 

- (Ryo) Vous êtes un bel hypocrite… Et vous n’avez aucune idée de ce que vous avez déclenché.  

 

- (Président) Calmez-vous, Ryo. Et écoutez plutôt. Comme vous le savez déjà, nous travaillons sur le clonage humain dans cet institut, cette unité de recherche privée qui ne dépend pas des fonds de l’Etat. Nous travaillons également en parallèle sur beaucoup d’autres choses. Entre autre les gènes du crime. Je ne peux pas freiner les avancements scientifiques, cela ne veux pas dire que je valide forcément toutes les découvertes.  

 

- (Ryo) Mais vous y participez, et vous menez des expériences interdites ? !!!  

 

- (Président) Ce que je dis, c’est que de toute façon ces expériences auraient lieu avec ou sans moi. Alors plutôt que de rester à l’écart, il valait mieux qu’un œil espion supervise tout cela.  

 

- (Ryo) Un œil espion ?  

 

 

 


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